Une fois n’est pas coutume, aussi ce dimanche nous nous retrouvons à 8h00 place de la mairie, pour une balade pédestre « sportive » de 21 km dans les monts du lyonnais.

A St Martin, bien que l’on soit en Haut, pas de soleil, mais le temps est doux et après un sympathique petit café d’accueil, nous sommes prêt pour le départ. Un petit sac accroché sur le dos nous mettons alors en route.

Rapidement, le rythme de croisière est atteint et sur les sentiers pentus qui défilent sous nos pieds, les machines chauffent et il devient vite impératif de se découvrir un peu.

Le temps passe et sans vraiment s’en rendre compte, les km défilent. Ainsi, 1h20 plus tard nous voilà déjà (ou enfin) arrêtés au premier point de contrôle ou un ravitaillement copieux nous attends. Après cette intermède, l’ambiance est conviviale, le rythme soutenu et les km défilent. Aussi, les deux autre points de contrôle qui jalonnent le parcours sont rapidement dépassés. Heureusement, car à l’approche de l’arrivée, une petite pluie fine s’invite. Prestement, certain enfilent leur poncho flambant neuf. Mais le circuit est bouclé et même pas le temps de mouiller les baskets que nous voilà après quelques étirements attablés devant un plat de pommes de terre et saucisson chaud.

Sympa la rando, on y reviendra!…

Ce dimanche 20 mars, malgré un début de matinée frisquet, mais sous un magnifique soleil printanier, nouvelle participation de 13 coureurs de la section courir à la course du bord de Saône (St Bernard).
Chacun à son rythme a pu apprécier le très beau circuit proposé. Le gros de la troupe s’est défoulé sur le 12km, le reliquat se contentant du 7km.

A l’arrivée tous ont pu gouter à la généreuse collation proposée en attendant les résultats.

Article du Progrès

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Seconde participation de l’ASCM « COURIR » à ce magnifique trail qui cette année nous a fait grâce de la neige. Mais bravo l’organisation, le givre matinal est bien présent et honore le nom de cette épreuve. Heureusement, un beau et doux Soleil vient vite réchauffer nos 18 participants. – 8 sur « la Montanoise » (9km). – 10 sur l’épreuve reine « leGivré » (21km).

« La force du groupe.

Au départ, pas envie d’y aller. Mode trève hivernale un peu prolongée, assez de challenges au boulot, pas besoin d’autres le week-end.

Patricia et Joseph en photographes officiels pour l’ASCM, grand luxe, nous voilà encore immortalisés avant le départ – bizarrement on est toujours plus beaux avant l’effort… non, pas ce profil là mon petit Tintin…

Au final, un Trail fondu (cf.sol) plutôt que Givré, mais on m’y reprendra!

Fabrice

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En ce début d’année, l’ASCM courir reste en forme.

Seconde participation, et toujours autant de résultats à la corrida nocturne de Balan qui c’est déroulée samedi 22 janvier.

Malgré une bise plus que fraiche, la participant de l’ASCM ont donné le meilleurs d’eux même et ont obtenu une belle récompense avec avec 3 podiums et des places d’honneurs.

Samedi après midi à St Maurice de Beynost, sous un beau soleil et sur une neige éclatante, après la course sur route, le trail, première participation et initiation réussi au cross country pour trois courageux coureurs de l’ASCM.

article du progrès

Résultats

Samedi 11 décembre, participation de 3 coureurs de l’ASCM « courir » à la corrida nocturne de Jonage.

LES RESULTAS – LES PHOTOS

La  SaintéLyon beaucoup en ont rêvé. Et bien, quelques uns d’entre nous l’on  fait. Encore une épreuve au palmarès de la section.

Tahar et Armand l’on faite en solo (68km) ;   Didier  Masson en relais 2 (38km) ; Chantal, Agnès et Myriam de Neyron en relais 3 (27, 18 et 23km) et pour finir Franck, Patricia, moi même et Jacques (c’était une première) en relais 4 mixte (15, 12, 18 et 23km)

Cette course en relais non prévue initialement à notre programme s’est montée à la dernière minute suite à disponibilité de nouvelles places. C’est de cette expérience dont je vais vous parler.

Une  fois  n’est  pas  coutume  ce  n’est  pas au petit matin que nous quittons Mionnay mais à 17:30 et au bout d’une heure nous sommes déjà …  de retour ! En effet Patricia a oublié ses chaussures, ce sont des choses qui arrivent, et il valait mieux les avoir pour affronter le parcours dans des conditions climatiques un peu délicates.

En  effet  il  a neigé toute la semaine, le froid est présent (-5°) au départ et malgré des inquiétudes (ou des espoirs pour certains) la course aura bien lieu et elle a eu lieu.

Arrivés  assez  tôt  dans  la soirée au parc des expos de Saint-Étienne, nous  retirons  nos dossards et emmagasinons quelques sucres lents à la  pasta  party, mais après ? il n’est pas encore 21h et le départ de Franck, premier relais, n’est prévu qu’à 2h du matin. Alors une seule chose à faire, comme nous n’avons pas de jeu de carte, c’est dormir ou du moins essayer de se reposer.

Nous nous allongeons sur des couvertures à même le sol et grapillons quelques minutes de sommeil, pas facile avec la sono et les courants d’air. Les halles se remplissent des 11500 coureurs et se transforment en gigantesque camping de fortune.

Petite photo avec notre « star » : Cathy Dubois, enfant de Mionnay bien  connue du monde des raids extrêmes qui ne manque pas d’encourager tous les participants, sympa.

00:30 il est temps pour Patricia et Jacques de rejoindre en voiture l’arrivée du 1er relais. Entre les acheminements en voiture et en bus, transbahutage des affaires de rechange, le relais 4 est logistiquement le plus compliqué, et il a fallu faire un schéma et des check-lists pour tout organiser !

02:00 après un échauffement collectif départ des relais, toutes frontales allumées ! Instant magique qui sera repris par toutes les chaines télé !

Et c’est  parti pour Franck et 15 km. 02h15 je pars en bus pour Saint-Catherine et j’ai la chance de voir les fameux serpents de frontales accrochés aux mont du Lyonnais !

Par portable nous apprenons que les conditions de course sont très bonnes, neige tassée, pas trop froid, ça se radoucit, mais ça ne vas pas durer. Bon temps donc sur ce premier relais et Patricia part pour passer le point culminant du parcours.

Je suis déjà à Sainte-Catherine et j’en profite pour prendre du repos dans le bus, encore  une  grosse  heure  de grappillée c’est déjà ça.

Au passage de relais  Patricia m’informe que la dernière descente était très difficile car gelée.

Le début de mon relais est correct, bonne côte prévue au road book et premières descentes piégeuses. Les coureurs et marcheurs sont à l’arrêt, on glisse sur les fesses, on s’accroche aux branches et ça tombe de partout.

La neige tassée par des milliers de pas et le froid ont transformé les chemins en patinoire, que ce soit en côte ou en descente pas de répit, seules quelles trop rares portions de  plat et de route permettent de se reprendre tout en restant vigilant. C’est usant pour les nerfs.

L’inquiétude grandit au relais suivant car ces mauvaises conditions sont arrivées aux oreilles. Et comme prévu par Jacques (trop fort) ce 3ème relais était l’incertitude ça passe ou ça casse, pas de chance c’était la 2eme option !

J’arrive enfin au bout de 2h04 et 18,3 km (au  lieu  des  16 annoncés) et jacques s’élance.

Le jour pointe et en même temps le  vent de lève, fort. Nous partons avec Franck de Soucieu-en-Jarrest par -5° et nous nous retrouvons à Lyon où il fait 4°. Nous croisons des coureurs sur le pont Pasteur luttant vaille que vaille contre Eole.

Nous retrouvons Patricia au palais des sports de Gerland qu’elle a regagné en bus, et nous attendons Jacques. Les coureurs arrivent exténués sur la ligne d’arrivée au son de musiques brésiliennes.

Enfin, après  un  peu d’inquiétude de notre part, notre coach fait son entrée, comme une flèche. Et même motif même punition pour lui aussi le relais a été dur, entre verglas, vent, centaines de retardataires à doubler et ces fameux bâtons de marche exceptionnellement autorisés mais tellement dangereux. Nous terminons notre course en moins de 7h à 10 km/h de moyenne.

Saluons tous ceux qui en relais ou plus particulièrement en solo ont réussi à terminer l’épreuve, ils ont bien mérité le terme de Finisher !

Côté sociétaires de l’ASCM aucun  abandon, les  10  inscrits de notre section ont terminé, bravo à tous.

Nul  doute  que  l’an  prochain  d’autres  s’attaqueront à cette épreuve, vraiment mythique, qui devrait être l’objectif pour beaucoup de la nouvelle saison.

Pour cette année on arrête là, à moins que Jacques nous trouve encore une course de derrière les fagots …

Didier

Les Classements

Vidéo

Le Jogg’iles vu par Brigitte et Didier.

Weekend du 20-21 novembre 2010, il fallait choisir ! En effet plusieurs courses importantes avaient eu la mauvaise idée d’être programmées en même temps : le marathon du Beaujolais, la foulée Vénissiane et Jogg’îles. Sandrine, Jacques et Franck se sont alignés brillamment sur le très relevé 10km de Vénissieux (Les résultats).  Le parc de Miribel-Jonage accueillait quant à lui le reste de la troupe de Mionnay qui s’alignait sur plusieurs distances : 31, 21, 15 (on va en reparler) et 10km ainsi que pour la ruée des gones pour les plus jeunes.

Départ donc de Mionnay dans le brouillard ce qui avait l’avantage d’augurer d’un temps relativement stable. Cela a été le cas, pas de vent, température fraiche mais idéale pour courir, quelques gouttes (mais vraiment pas beaucoup) et quelques belles percées d’un soleil automnale. Bref de très bonnes conditions, comme à chaque fois !!

Il est temps de faire l’appel, étaient présent Nathalie, Didier M., Agnès et Chantal pour le 30km, Laurent et Bertrand pour le 21km, Serge, Fabrice et Didier P. pour le 15, Laurette, Brigitte, Élodie, Isabelle, Joseph, Corinne et Stephan pour le 10km. Quentin ainsi que le fils de Fabrice participaient à la ruée. Myriam et Marie complétaient la liste des 18 inscrits à la section courir de l’ASCM.

Les différents parcours permettaient de traverser (visiter ?) le parc rendu légèrement « gadouilleux » par la pluie de la veille, mais on a vu pire ! Belle organisation comme à l’accoutumée qui a été un peu ternie par un loupé sur le parcours du 15. Annoncé pour 14km2 il faisait en fait 16km4 pour les plus chanceux voire 18 ou plus pour certains. Car il a été difficile de retrouver le marquage de celui-ci (enlevé ?), un goulot d’étranglement inattendu  perturbait de plus l’allure des coureurs et il nous a même été donné d’en trouver à contre-courant. Le fait de passer à quelques mètres seulement de chasseurs a été pour beaucoup un moment stressant. Bref, lors de la remise des trophées les organisateurs, même s’ils ne sont par forcément fautifs, se sont excusés et tout le monde est reparti du parc un peu fatigué, courbaturé (et les étirements hmm ? Ah dès que le coach n’est pas là !!) mais avec le sentiment du devoir accompli.

Belle ambiance famille également et merci aux supporters qui nous ont encouragés : Sandrine revenue de Vénissieux avec Philippe qui s’était attaqué au marathon du Beaujolais la veille.

Didier

Le 10 km

Le parcours se déroule sur une boucle autour du plan d’eau du très joli parc de Miribel Jonage. Le circuit assez plat est agrémenté de quelques petites bosses pas méchantes du tout s’offrent aux coureurs, histoire de tirer sur les mollets et de souffler un peu plus. Très agréable tour du lac, avec son circuit pédestre qui permet de voir évoluer les cygnes, les canards… nullement dérangés par tous ces concurrents qui  jalonnent leur territoire.

Sous une légère brume  qui rendait l’endroit féerique nous avons commencé notre course. Il fallait compter en début de parcours sur un sol assez gras et détrempé par endroit. Ensuite tout s’arrange en abordant une piste plus sablonneuse. Par bonheur, la pluie annoncée n’était pas au rendez-vous, nous l’avons évitée durant notre course… . Elle était pourtant parfois présente sur le parc mais est restée très discrète.

Se donner avec les autres dans une course nature durant 10 kms;

Encore une fois que du bonheur !

Brigitte
Les résultats

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Je vous raconte la matinée du samedi 13 novembre ou la section « courir » de Mionnay c’est donnée rendez-vous à 9h00 sur la place du village.

Nous partons cette fois-ci pour « le cross du Cœur » organisé à St André-de-Corcy. Nous allons nous dépenser pour une bonne cause. Apporter un soutien financier au profit des enfants hospitalisés afin de contribuer à leur apporter un peu de joie.

Nous étions 19 participants, participantes dont 3 enfants (certains étaient venus en famille):

– Chez les filles : Laurette – Corinne – Martine – Catherine – Isabelle – Patricia et sa fille Aline ( 7 ans), son mari Michel venu pour nous encourager – Elodie et sa fille Mathilde (7ans) – Géraldine et son fils Mathéo (8 ans)

– Chez les garçons : Didier – Laurent – Bertrand – Daniel – Fabrice – Serge – Jacques.

Comme d’habitude, nous étions tous en super forme ! ……  On sort de son univers ordinaire pour entrer dans celui du sportif, se dépasser, donner de soi avec les autres.

Après notre inscription sans tarification, on remet notre don. Nous voilà, avec notre dossard et nos épingles à nourrice, on l’accroche sans se piquer et il ne nous reste plus qu’à rejoindre le départ.

Nous voilà parti pour une ronde infernale sur un circuit de 1000 mètres même un peu plus « y paraît », à dit le coach.

Pas de difficulté particulière, à part une petite grimpette en fin de circuit avec la petite descente qui suit. Il fallait compter sur un terrain assez «  gadouilleux »et collant mais quel bonheur de courir avec un ciel bleu et le soleil qui réchauffe l’atmosphère comme une matinée printanière.

Une fois n’est pas coutume, chacun choisi le moment de son départ, cela permet aux parents d’accompagner les enfants sur leur parcours et d’enchainer ensuite leur circuit.

Pas de kilomètre imposé, on parcourt ce que l’on veut, pas de chrono à suivre, chaque tour est poinçonné pour comptabiliser des milliers de mètres à l’arrivée, le pied j’ vous dis ! ….. Il faut tout de même faire attention où l’on pose les baskets car les chevilles se vrillent assez facilement sur cette pâture transformée en circuit. Allez, premier tour, on s’échauffe, on discute un peu. Ensuite l’affaire devient sérieuse et  progressivement, les filles emmitouflées se déshabillent, il fait chaud, trop chaud, elles se retrouvent en petites manches. Les garçons eux, ils ont jamais froid alors ils ne se déshabillent jamais.

Les corps se chauffent, les jambes sont plus lourdes au fil des tours avec la boue qui s’agglutine sous les pieds et que l’on traine comme un boulet. Bon ! Ce n’est pas le bagne mais quand même … Nous aplatissons les taupinières au fur et à mesure de nos passages, les taupes ne sont pas à la fête ce jour là….

On tourne, on tourne, la routine prend le dessus, heureusement on se  rattrape, ce qui permet d’échanger : quelques mots d’encouragement, un sourire crispé ou détendu selon la forme de l’instant,

Les supporters nous soutiennent à chaque tour avec des : « encore, allez, c’est bien, bravo » !

Alors, on continue et l’on fait des ronds; les plus petits c’est à dire les enfants, font des ronds de 400m, voire plus. Les grands font des ronds plus longtemps, pour certain jusqu’à 21000 m et pour les autres en fonction de leur capacité et leur envie.

Petit à petit le corps fatigue et décline, le mental avec et l’on décide lorsque le tour s’achève de stopper là.

On est vidé, on transpire pour les filles ; on racle, on crache en plus pour les garçons ; mais tous nous savourons le bien-être de l’effort terminé.

Le naturel revient au galop, on  se dirige vers le ravitaillement. On s’hydrate, on s’alimente, que de bonnes choses, des gâteries qui font reprendre des forces.

Ensuite, on échange nos appréciations, on s’étire au soleil pour détendre les muscles, on est bien, dans l’attente des derniers qui sur la piste terminent leur ronde infernale.

Cette année St André aura doublé avec notre modeste participation le nombre de mètres parcourus ainsi que la somme recueillie pour cette bonne cause.

Brigitte